Notre jeune héros à toujours rêvé de voyager sur les mers, mais ce fut qu'a la fin de ces études qu'il décida de partir à l'aventure. N'allez pas croire qu'il attachait une quelconque importance à son cursus scolaire, il n'y portait aucuns intérêts, ce fut une suite d'événements inattendu qui le décida à prendre la mer...
Cela faisait trios jours que Halen avait fini ses études. Son diplôme en poche, il s’était empressé de fêter ça avec tous ses camarades de promo, et avait fini complètement bourré, dans un lit avec trois petites poulettes, qu’il ne connaissait absolument pas….
Il venait de rentrer chez lui, et avait eu droit, comme il s’y attendait à une grande discussion concernant son avenir avec ses parents. Son père souhaitait le faire entrer au service du souverain d’alabasta, et il lui avait même arrangé plusieurs rendez vous ayant pour but de la faire recruter parmi les fonctionnaires au service du roi. Comme notre héros l’avait prévu, ses parents n’avaient tenu aucun compte de son rêve de parcourir les océans et de découvrir le monde. Ce fut donc avec aucuns entrain qu’il rencontra le chef de recrutement du palais, avec qui son père avait quelques liens, suffisamment pour arranger un boulot à son bon à rien de fils ! Cependant l’entretien ne se passa pas aussi bien que sa famille aurait put l’espérer. A peine était il arrivé, que son interlocuteur avait commencé à lui dire qu’il n’aurait pas de travail intéressant au vu des résultats qu’il avait eu pendant ces études. En effet, Halen c’était toujours arrangé pour passer au ras des pâquerettes, et on ne pouvait lui offrir rien de plus qu’un misérable emploi de secrétaire à la comptabilité du royaume. Ce qui était bien loin de l’ambition de notre jeune héros.
Halen déclina cette proposition et quand il rentra chez lui, pour annoncer la nouvelle à ses parents, ce fut le chaos. Pour la première fois son père leva la main sur lui, en lui hurlant qu’il n’était qu’un bon à rien, puis au terme de plusieurs heures de vive engueulade, Halen partit, de chez lui, claquant la porte derrière lui. Il ne savait pas où allez, et décida d’aller cuvé dans un bar, en attendant que son père vienne afin de s’excuser. Malheureusement, il eu beau attendre toute la nuit, cela n’arriva pas, et il se sentit vite très seul.
Ce fut au alentour de quatre heures du matin qu’il fit une étrange rencontre. Un homme entra dans la taverne, vint s’assoire à coté de lui et commanda un grand verre de rhume. Très vite, celui-ci remarqua son voisin, et voyant qu’il avait l’air penaud, il lui demanda :
-Sa va pas l’ami? T’as pas l’aire bien…-patron, la même chose pour le jeune homme- dis moi donc ce qui ne va pas, qui sait, je pourrait peut être t’aider…
Halen leva les yeux vers l’inconnu qui lui adressait la parole et lui répliqua :
-C’est pas tes ognons, vas te faire voir !
Ce n’était pas vraiment dans ses habitudes de parler comme ça à quelqu’un qu’il ne connaissait pas, mais l’état dans lequel il se trouvait (a cause de la dispute et au cause de l’alcool qu’il s’était enfilé) lui avait fait oublier toutes politesses.
-Tu sais que tu n’es pas très aimable mon jeune ami, je me propose juste de t’aider, parfois le fait de parler peu soulage bien mieux q’une quantité incroyable d’alcool ! Je remarque d’ailleurs que tu as choisis la deuxième solution.
L’homme avait prononcé ses mots avec un large sourire, qui se voulait réconfortant. Il s’agissait d’un grand roux, coiffé d’un chapeau haute forme et portant un passe montagne grisâtre. C’était sûrement un marginal qui avait l’habitude d’aller boire à des heures tardives et qui aimait bavarder avec d’autre gens. Cependant, Halen s’entait que cette personne avait quelques chose de plus que les autres, un air bienveillant, presque fraternelle, et notre héros ne tarda pas à ce confier à lui…
Une foi son récit terminé, l’homme reprit la parole :
-Et bien, tu es dans une belle merde, si tu me permets l’expression! Tu possèdes un rêve, mais il est inaccessible à cause de ta famille qui souhaite que tu te tapes un job de fonctionnaire pour le restant de ta vie …. Je vais te donner mon avis, tu en feras ce que tu veux :
Je pense que tu as de la chance ! Beaucoup de gens vives sans aucune ambition, se contentant d’attendre que les jours passes, et se satisfaisant d’une vie banal. Toi tu aspires à plus grand, beaucoup plus grand, et il serait dommage que tu n’en profite pas ! Un bateau part demain matin aux alentour de midi, il est amarré au quais numéros 9, c’est un navire militaire, je ne sait pas où il t’emmènera mais si tu veux une chance de réaliser ton rêve part d’ici, tu n’as aucuns avenirs sur cette île.
Halen ne savait pas quoi répondre, même si il était du genre impulsif, il ne pouvait pas prendre une décision comme cella la aussi rapidement, surtout dans l’état où il était. De plus, elle lui avait été suggéré par un total inconnu, et même si celui-ci avait l’air digne de foi.
GROS TROU NOIRE
Halen se réveilla en sursaut. Il avait due passer la nuit affalé sur le comptoir, en train de décuver. Il jeta un coup d’œil à l’horloge mural qui trônait au fond de la pièce. Elle indiquait dix heures pile. Il jeta ensuite un coup d’œil sur sa gauche, là ou avait été assis le mystérieux inconnu, mais il n’y vit qu’un siège vide. Il avait rêvé, tout cela n’avait été qu’un rêve ! Cela l’arrangeait bien, car il avait été tenter d’accepter sa proposition d’embarquer à bord d’un navire totalement inconnu, pour une destination encore moins connu. Comme cela n’avait été que le fruit de son imagination, la question ne se posait même plus…
Le tavernier, voyant l’air paumé de notre jeune Halen vint le voir et lui dit :
-Si tu cherches ton ami, il est partit quand tu t’es écroulé sur le comptoir ! Il à régler toute ta note, plutôt généreux non ?? Ah Ah la jeunesse ! Tiens, pendant que j’y pense, il m’a charger de te dire ceci : Quai numéros 9, à midi !
Sa doit être un rendez vous…enfin sa me regarde pas…
Puis il laissa Halen, perdu dans ses pensées. Il n’avait donc pas rêvé…. Il avait une vrai chance de changer de destins, de ses sortir de l’impasse dans laquelle il se trouvait prit au piège.
L’heure n’était plus à la réflexion, de lavant d’un bon, il courra chez lui. Une fois arriver, il remarqua que la maison était vide, il montât dans sa chambre, prit plusieurs affaires qu’il fourra dans un petit sac, embarqua ses fringues, et laissa un mot expliquant tout simplement qu’il prenait le large et qu’il donnerait des nouvelles dés que possible.
Il fonça alors au fameux quai que lui avait indiqué le mystérieux inconnu, et réussi à embarquer à bords, sans trop de mal, se faisant passer pour un jeune mousse étant là pour faire le ménage.
Halen ne savait pas si il avait prit la bonne décision, mais il était sur d’une chose, il reverrai le mystérieux inconnu, leur chemin seraient emmener à se croiser de nouveau….